mercredi 11 mars 2009

La vraie difficulté: l'approvisionnement

La cantine bio de Pamiers, rebaptisée "de terroir" faute de trouver localement des producteurs qui assurent l'intégralité de ses besoins en livraisons régulières toute l'année, a donc dû trancher entre bio et local. « Du tout bio du début, seuls la viande de veau et bœuf, les poulets et le pain ont résisté aux commandes répétées » explique Françoise Matricon, conseillère municipale et chef de file des Verts, l'une des invitées au débat initié par le CIVAM bio 09.

Le thème : consommer bio et local, c'est primordial.
En première partie du débat ont fusé les arguments qui visaient à tordre le cou au sempiternel « le bio, c'est bien mais cher ! » Puis les invités ont évoqué les alternatives à l'omniprésence des fruits et légumes du bout du monde.

(...) on estime à 10 000, le nombre d'agriculteurs sans terre en France. C'est ainsi que le débat s'est orienté sur la nécessité d'une véritable volonté politique pour que les choses changent.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire