Enquête  sur 5 filières alimentaires : comment des molécules chimiques telles  que les adjuvants ou les pesticides se retrouvent dans nos assiettes ?
L'enquête,  à la fois scientifique et de terrain, s'intéresse à la fabrique  alimentaire, et plus particulièrement à quatre filières d'aliments parmi  les plus consommés en France : porc, saumon, pomme et pain.
Dioxine,  arsenic, plomb, mercure, antibiotiques, pesticides et autres additifs  ne sont pas une fatalité. Les scientifiques renversent l'argumentaire  classique d'une agriculture conventionnelle face à une production  biologique. Ils rappellent que l'agriculture intensive n'a rien de  conventionnel et n'a qu'une cinquantaine d'années ! Le conventionnel,  jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'était le bio !
Minutieuse, rigoureuse, l'enquête démonte un engrenage suicidaire et défend une logique de transparence : le consommateur devrait pouvoir savoir, il devrait surtout pouvoir choisir.
Minutieuse, rigoureuse, l'enquête démonte un engrenage suicidaire et défend une logique de transparence : le consommateur devrait pouvoir savoir, il devrait surtout pouvoir choisir.
Menée par plusieurs journalistes en France et en Norvège, l'enquête cible notamment les pommes et le blé, accompagnés de leurs pesticides nocifs, en particuliers pour les enfants. Côté viande, les porcs sont en ligne de mire: ils consommeraient la moitié des antibiotiques de France!
On touche là au nerf de la guerre :  comment résoudre la fracture alimentaire ? Bien manger coûte cher et  l'écart se creuse. 
Ne serait-ce pas à l'école de lisser cette différence entre riches et pauvres, 
entre familles informées ou non ?
Pourtant, les spécialistes rencontrés par Eric Guéret et  Isabelle Saporta en sont persuadés : on peut nourrir la planète sans  pesticides.  
 
J ai programmé l'édition j'ai commencer a la regarder sa fait peur bravo la culture intensif
RépondreSupprimeret tous le reste aussi.