"Il faut une véritable motivation politique pour que les édiles acceptent de prendre en charge les cantines. «Ce sont des questions trop graves pour les laisser aux industriels», sourit Damien Alary, vice-président de la région Languedoc-Roussillon et président du conseil général du Gard. Voilà cinq ans que ce département s'est engagé dans la bataille de la bonne bouffe, en injectant 40 000 Euros chaque année dans les cantines scolaires. «C'est un travail de conviction, surtout quand il faut reprendre l'éducation gustative à la base. Au début, les repas retournaient en cuisine sans que les enfants les aient touchés. Le poulet bio ou label rouge était boycotté par les gamins qui le jugeaient trop dur!» explique l'élu. Il a fallu tout réapprendre, associer les parents à des ateliers de cuisine et expliquer aux enfants qu'un fruit pousse sur un arbre, que le lait vient de la vache et que les légumes suivent les saisons."
la suite très intéressante ici
lundi 24 mai 2010
Un article sur les cantines dans Marianne (mars 2009)
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