Alors, peut-être faut-il lire d'urgence "Le Potager anti-crise" écrit par un jeune jardinier autodidacte, installé à la campagne depuis 7 ans. Rodolphe Grosleziat est professeur en lycée technique et habite dans la région du Tréport, en baie de Somme.
Il raconte lui-même qu'il est paresseux et ne veut pas passer plus de 30 mn dans son jardin chaque jour.
Grâce à ses recherches des techniques les plus simples, les plus saines, les plus " rentables ".
Partant " de rien ", il est parvenu à une quasi-autonomie et parvient à nourrir toute sa famille toute l'année grâce aux légumes de son jardin, cultivés sans aucun engrais ni pesticide.
L'aspect comptable est important: il comptabilise ses récoltes en fonction des cours du marché et prouve par les chiffres que l'économie réalisée représente entre 2,8 et 3,5 fois la valeur d'un SMIG mensuel par an .
Voilà donc de véritables arguments pour des jardins partagés, familiaux, au centre des cités, dans les quartiers populaires.
mercredi 31 mars 2010
Manger bio, vous croyez encore que c'est cher ?
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