Le pari est lancé en 2009, lors de l'élaboration d'un Plan climat-énergie territorial (PCET) pour la communauté urbaine de Strasbourg avec pour objectif de réduire de 30% les gaz à effets de serre (GES) et de 30% la consommation énergétiques d'ici 2020.
Ainsi dans les critères d'attribution du marché public des cantines de la ville (6.000 enfants, 7.500 repas par jour), une clause oblige le prestataire à réduire de 3% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) sur une période de quatre ans.
Dans le détail, l'entreprise doit s'engager à augmenter la part des produits agricoles bio, réduire les consommations de boeuf et de veau, privilégier l'approvisionnement en circuit court à travers des produits locaux et optimiser ses tournées et ses chaînes frigorifiques.
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