Les Deux-Sèvres adoptent les concepts d’ “écorégion ” et d' “autosuffisance alimentaire de proximité ”.
Les cantines dans les Deux-Sèvres, c'est une assiette gigantesque,
estimée à vingt et un millions de repas à servir chaque année : deux
millions dans les collèges, le double dans les écoles maternelles et
primaires, près de cinq dans les maisons de retraite. Et il y a aussi
les hôpitaux, les administrations, les mutuelles…
le conseil général s'est d'abord intéressé aux collèges dont il assure le fonctionnement. Constat révélateur : « Actuellement, moins de 9 % des produits servis à nos élèves sont issus de la région ».
Pour démontrer qu'il leur est possible de se fournir dans un proche
rayon, il a réalisé un catalogue des produits locaux déjà disponibles
(1). « On propose déjà 400 références. Aujourd'hui, les 120
producteurs qui ont rejoint Résalis peuvent fournir 70 % des références
de produits laitiers, 100 % de la viande et la moitié de l'épicerie. »
En
revanche, pour produire localement les quelque 25.000 tonnes de fruits
et légumes consommés chaque année, l'ingénieur a calculé que la filière
maraîchère allait devoir investir 200 hectares de terres supplémentaires
dans le département.
La totalité de l'article ici
Une action qui s'inscrit dans la durée et pour le développement et la protection des terres agricoles. Vous pensez à déménager là-bas pour assurer votre autosuffisance alimentaire de 10 ans ? Vous avez bien raison.
Voilà une initiative très intéressante et engagée, bien au-delà de ce que propose la mairie de Marseille avec Sodexo.
vendredi 12 octobre 2012
mardi 2 octobre 2012
Un nouveau guide qui remplace le GEMRCN
Les acheteurs trouveront des
informations sur la réglementation des produits sous signe de qualité,
notamment les produits biologiques, les exigences minimales de qualité
et de maturité, ainsi que les tolérances admises dans leur appréciation.
Au sommaire également : les circuits courts, l'achat public éco-responsable, la gestion des bio-déchets et des recommandations aux opérateurs de la restauration qui souhaitent communiquer sur le caractère bio de leurs produits.
Au sommaire également : les circuits courts, l'achat public éco-responsable, la gestion des bio-déchets et des recommandations aux opérateurs de la restauration qui souhaitent communiquer sur le caractère bio de leurs produits.
samedi 10 mars 2012
Le sujetd es cantines bio dans le nouveau magazine Kaizen
Voici un nouveau magazine, créé par le fondateur du Magazine la Maison Ecologique, en partenariat avec le Mouvement Colibris: Kaizen.
L'un des articles est consacré à la Cantine Bio. Sauf que...le(a) journaliste oublie de parler des rgandes villes où les cantines sont gérées par les mairies et où tout est plus complexe, politique, voire mondialisé, mais aurait aussi un plus grand impact économique et écologique.
C'est dommage de n'avoir fait que survoler le sujet...
L'un des articles est consacré à la Cantine Bio. Sauf que...le(a) journaliste oublie de parler des rgandes villes où les cantines sont gérées par les mairies et où tout est plus complexe, politique, voire mondialisé, mais aurait aussi un plus grand impact économique et écologique.
C'est dommage de n'avoir fait que survoler le sujet...
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jeudi 1 mars 2012
Projection Marseille République de la Malbouffe le 1er mars 2012
Ce jeudi 1er mars, à 20h aux Variétés, projection du film LA RÉPUBLIQUE DE LA MALBOUFFE de Jacques Goldstein (France-1h12, Sur une idée originale de Xavier Denamur.
SÉANCE - DÉBAT en présence de Xavier Denamur (Restaurateur)
- + à 19h00 et 22h00 : Buffet républicain :dégustations et vente de produits locaux
- + de 22h00 - 00h00 : Sound Design du Buffet par Ma Public Therapy
1h00 de chansons à manger + 1h00 de musique à danser
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jeudi 2 février 2012
Republique de la malbouffe...demandez la projection à votre salle de quartier
En avril 2009, Nicolas Sarkozy décide de baisser le taux de tva dans la restauration de 19,6 à 5,5.
Cette mesure, d’apparence technique et économique, s’avère être un fait éminemment politique.
3 milliards d’euros par an disparaissent des caisses de l’état, sans qu’aucune réflexion de fond ni débat parlementaire n’aient été produits sur un secteur qui pèse très lourd dans l’économie du pays.
Et alors que les déficits publics sont abyssaux ! Cette décision, un restaurateur a décidé de la remettre en question, fort de sa légitimité de citoyen et d’entrepreneur dont la réussite exceptionnelle confère un poids particulier à son propos. Xavier Denamur, c’est son nom.
Ce film explique comment cette décision fiscale a en fait de graves répercussions sur ce qui est mis dans les assiettes des restaurants, ceux qui fonctionnent sans vrais cuisiniers, sans "vrais" produits, mais en donnant un grand avantage à l’agroalimentaire, avec des risques pour la santé forcément et l'économie locale.
TrailerMalbouffe par rebusparis
Bien entendu peu de salles pour sa sortie, mais il faut essayer auprès des petites salles de quartier qui ont parfois une démarche différente.
Cette mesure, d’apparence technique et économique, s’avère être un fait éminemment politique.
3 milliards d’euros par an disparaissent des caisses de l’état, sans qu’aucune réflexion de fond ni débat parlementaire n’aient été produits sur un secteur qui pèse très lourd dans l’économie du pays.
Et alors que les déficits publics sont abyssaux ! Cette décision, un restaurateur a décidé de la remettre en question, fort de sa légitimité de citoyen et d’entrepreneur dont la réussite exceptionnelle confère un poids particulier à son propos. Xavier Denamur, c’est son nom.
Ce film explique comment cette décision fiscale a en fait de graves répercussions sur ce qui est mis dans les assiettes des restaurants, ceux qui fonctionnent sans vrais cuisiniers, sans "vrais" produits, mais en donnant un grand avantage à l’agroalimentaire, avec des risques pour la santé forcément et l'économie locale.
TrailerMalbouffe par rebusparis
Bien entendu peu de salles pour sa sortie, mais il faut essayer auprès des petites salles de quartier qui ont parfois une démarche différente.
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jeudi 13 octobre 2011
Des rencontres capitales à Marseille autour de la nutrition: samedi 15/10/11
Au Pharo aura lieu ce samedi, une conférence qui peut être très intéressante sur la nourriture, dans le cadre des "Rencontres Capitales" (si capitales que l'on ne voit aucun pub dessus dans Marseille...La Mairie n'a toujours pas décidé qu'il était mieux d'avoir des administrés intelligents et renseignés, plutôt que des fans de l'OM, qui croient encore que Marseille est la plus belle ville du Monde...bref).
Donc, venez assister à ce débat de 16h à 17h30 qui regroupe rien de moins que:
animé par Andréa Bergala, réalisateur du reportage "Les Tomates voient rouge", réflexion sur l’industrialisation de l’agriculture et ses conséquences sur l’uniformisation du goût à l’heure de l’alimentation globalisée.
Inscrivez-vous en ligne.
Donc, venez assister à ce débat de 16h à 17h30 qui regroupe rien de moins que:
animé par Andréa Bergala, réalisateur du reportage "Les Tomates voient rouge", réflexion sur l’industrialisation de l’agriculture et ses conséquences sur l’uniformisation du goût à l’heure de l’alimentation globalisée.
Inscrivez-vous en ligne.
mardi 11 octobre 2011
33 000 restaurants collectifs mettent du bio au menu
Début 2011, selon les chiffres de l’Agence Bio, 46 % des établissements de restauration collective publique ou privée interrogés ont déclaré proposer des produits biologiques à leurs convives, soit près d’un établissement sur deux, et plus de 33 000 établissements au niveau national. En 2006, seuls 4 % d’entre eux déclaraient le faire.
Le marché de la restauration scolaire est la plus impliquée : 61 % des « cantines » (contre 51 % en 2010) déclarent servir des produits bio. (lire la suite)
Mais au-delà de ces chiffres très encourageants, il faudrait aller chercher plus loin et se demander combien de produits sont bio dans un repas et quelle est leur fréquence surtout. car 1 produit servi 1 fois par an grossi artificiellement le nombre de cantines scolaires servant du bio.
Le marché de la restauration scolaire est la plus impliquée : 61 % des « cantines » (contre 51 % en 2010) déclarent servir des produits bio. (lire la suite)
Mais au-delà de ces chiffres très encourageants, il faudrait aller chercher plus loin et se demander combien de produits sont bio dans un repas et quelle est leur fréquence surtout. car 1 produit servi 1 fois par an grossi artificiellement le nombre de cantines scolaires servant du bio.
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